Prendre une Année Sabbatique : Comment Enfin Oser te Lancer (avec ces 5 Statistiques Secrètes 🤫) ?

une main pointe un stylo vers des graphiques de statistiques pour prendre une année sabbatique
Photo de Lukas sur Pexels

Toi qui rêves de temps en temps – de plus en plus souvent – de prendre une année sabbatique.

Toi qui culpabilises toujours et ranges rapidement l’idée dans un tiroir.

Qui penses, le cœur lourd, que malheureusement, tu n’en as pas le droit

Veux-tu que je t’aide à dépasser cette frustration ? A enfin oser prendre une année sabbatique ?

Il n’est pas évident de trouver des statistiques fiables sur les années – ou les congés – sabbatiques. Pas étonnant que tu n’aies pas les bonnes références !

Ni l’INSEE, ni le Ministère du Travail ne publient de données. Si j’étais conspirationniste, j’y verrais sûrement une volonté manifeste de nous tenir dans le brouillard pour nous éloigner de ce qui est bon pour nous… 😉

Heureusement, en 2017, deux voyagistes ont publié coup sur coup les résultats de deux études qu’ils ont réalisées au sein de pays occidentaux, dont la France : il s’agit de l’étude d’Opodo et de celle de VoyagesPirates.

Voici à ton attention les 5 résultats authentiques qui ressortent en synthèse. L’année sabbatique :

Comme tu peux le voir, tu es loin d’être un cas isolé et il y a de nombreux salariés candidats au départ temporaire de leur entreprise. Rassuré ?

Et ce n’est pas tout. Derrière ces chiffres, il y a plein de bonnes idées à piocher pour transformer l’essai et faire de cette année une formidable parenthèse enchantée… ou même le nouveau départ d’une aventure palpitante !

Prêt à assumer le risque d’en savoir plus, quitte à ne plus pouvoir t’ôter l’idée de la tête ? Alors suis le guide ! 🙂

« Peut-on prendre une année sabbatique ? » : le rêve de 95% des Français

via GIPHY

C’est un résultat digne d’une République bananière auquel arrive VoyagesPirates ! Pas moins de 95% de salariés français rêvent de prendre une année sabbatique.

D’emblée, précisons que les chiffres sont quand même assez disparates d’une étude à l’autre. Ce qui est probablement lié à la taille relativement faible de l’échantillon (1869 sondés pour VoyagePirates, et probablement un peu moins pour Opodo).

Ainsi, ce chiffre chute à 67% de nos compatriotes qui “considèreraient l’option de prendre un congé sabbatique” selon Opodo. Il n’empêche que cela confirme qu’une écrasante majorité de salariés songent à mettre en pause leur contrat de travail. Et que les tendances sont les mêmes dans les 2 études.

Mais quand peut-on prendre une année sabbatique ? De façon intéressante, la proportion de Millenials (18-34 ans) séduits est plus élevée que la moyenne (78% contre 71% tous âges confondus, à l’échelle Européenne, pour Opodo).

Mais par ailleurs, Nice Matin relevait aussi récemment une augmentation du nombre de salariés qui décident de faire valoir leurs droits à un congé sabbatique après beaucoup d’ancienneté dans leur carrière.

Ces deux éléments laissent supposer une augmentation sur la durée du nombre de personnes qui vont franchir le cap du départ. Tu n’as pas envie de participer à un probable futur phénomène de société ? 😉

Comment prendre une année sabbatique ?

Mais cet enthousiasme global contraste avec le relativement faible score actuel de salariés qui sont passés à l’acte. En effet, seulement 10% des Français vont oser prendre un congé sabbatique durant leur carrière.

Bon, ce chiffre remonte à un maximum de 20% hors chefs d’entreprise et indépendants, mais l’écart reste important entre l’intention et l’action

Qu’est-ce qui explique un tel taux d’attrition selon VoyagesPirates ?

  • 61% l’aspect financier
  • 18% l’impact professionnel
  • 8% la présence d’enfants

« Ben oui ! », t’es-tu écrié, dépité ? Pas si vite, voyons ensemble ce que cela recouvre et comment faire pour prendre une année sabbatique tout de même !

De nécessaires économies à mettre à contribution

un homme retourne les poches de son jean pour montrer qu'il subit une contrainte financière
Image de 1820796 sur Pixabay

Effectivement, je te rappelle que le congé sabbatique est un congé sans solde. Donc pas de salaire, hors dispositions spécifiques – rares – propres à ton contrat de travail ou à ta Convention collective.

Si tu ne l’as pas lu, je te renvoie pour cela à mon article sur la définition d’un congé sabbatique. Tu dois donc avoir réussi à mettre de côté au préalable pour avoir les moyens d’envisager l’aventure.

Mais le Code du Travail peut être ton allié – involontaire – sur ce coup-là. Il définit en effet une condition importante pour prendre une année sabbatique en France : l’ancienneté nécessaire.

Et la durée requise de 6 années minimum d’activité professionnelle en tant que salarié peut éventuellement t’avoir permis d’économiser la somme nécessaire.

En fait, la durée de la phase d’épargne recommandée par certains avant de partir est de 3 ans. Mais à vrai dire, la question est plutôt de déterminer les dépenses lors de ton congé. Quoi qu’il en soit, tu dois considérer que ce projet est un véritable investissement, sur toi-même.

Dans tous les cas, retiens qu’il est difficile pour le candidat d’éviter une sérieuse “revue budgétaire”, afin de revoir ses dépenses à la baisse. Idéalement bien avant de partir en congés pour économiser davantage en amont (quitte à envisager un petit report).

Mais aussi dans la plupart des cas durant le congé. Evidemment, cela dépend du contenu de celui-ci, nous y reviendrons plus bas.

Cette contrainte est celle qui concerne réellement le plus d’aspirants « sabbatiqueurs »… Pour t’aider à faire le point et en bénéficier, j’y ai donc consacré un e-book très utile que tu peux télécharger en remplissant le formulaire disponible à la fin de cet article. 🙂

La crainte de complications professionnelles

Qui a le droit de prendre une année sabbatique ? Ou plutôt, « qui serait assez fou pour oser prendre une année sabbatique en CDI ? » 😉

Par convention, on a souvent tendance à redouter un impact sur sa carrière. Mais pour tout dire, cela me semble un peu irrationnel à la date !

Même en France, où le congé est pourtant prévu de plein droit dans le Code du Travail, laissant peu de moyens à l’employeur de faire valoir son refus. Qui pourrait donc en conserver une certaine amertume envers son salarié.

Une initiative à valoriser

En réalité, l’époque où le congé sabbatique était considéré par l’employeur comme le fait des oisifs est révolue.

Nous allons voir par la suite qu’il y a quasiment toujours des programmes bien ficelés associés aux congés sabbatiques. Les employeurs peuvent être intéressés par les nouvelles compétences que va développer leur salarié.

Et même s’il n’y a pas d’application à la lettre dans les métiers de l’entreprise, l’employeur pourra reconnaitre la prise d’initiative du salarié et saura que celui-ci a toutes les chances de revenir bien plus motivé qu’à son départ.

Dans l’interview audio de Marie-Agnès Bricq, que je te conseille vivement d’écouter, ce recruteur me confirme qu’une année sabbatique n’a rien à voir avec un trou dans le CV. A condition de lui donner du sens et d’oser saisir l’initiative pour en parler lors d’un entretien d’embauche, elle peut même permettre au salarié de prétendre à d’autres emplois.

D’ailleurs, près de chez nous, 60% des Espagnols et des Allemands sont optimistes et estiment qu’un congé sabbatique les rendrait plus employables.

La position des employeurs

On trouve de nombreux exemples de patrons ayant décidé de prendre un congé sabbatique. C’est ainsi le cas de :

  • Yngve Slyngstad (PDG de Norves Bank Investment Management)
  • Patrick Z’Brun (fondateur de Techron)
  • Marc Benioff (vice-président chez Oracle à l’époque)
  • Denis Ranque (PDG de Thales)
  • Johann Rupert (président du directoire de Richemont)
  • Julian Cook (fondateur de Flybaboo)
  • Stefan Sagmeister (designer et patron d’un studio à New York)

Ce dernier a donné une conférence TED passionnante sur le sujet, qui peut t’intéresser si l’anglais ne te rebute pas (sinon pas de panique, des sous-titres dans la langue de Molière sont disponibles 😉 ).

Si même les patrons s’y mettent, n’est-ce pas la preuve qu’il s’agit pour un salarié d’une démarche sans risques, testée et approuvée ? 😉

Toujours pas convaincu ? Sache que 45% des salariés avouent ignorer quelle serait la réponse de leur employeur par rapport à un congé sabbatique ! Pourquoi ne pas alors le lui demander ?

Et la réponse a d’autant plus de chances d’être positive que la demande du salarié sera anticipée par rapport à sa date de départ.

Cela permet à l’employeur d’organiser l’activité en prévision de son absence. Il est parfois conseillé d’aborder le sujet un an avant de remettre ta lettre de demande à proprement parler.

C’est beaucoup, mais prendre un congé sabbatique nécessite de toute façon un minimum de préparation. Et sur cette période, tu pourras peut-être terminer de mettre de côté la somme nécessaire. Alors plutôt que d’y renoncer, pourquoi ne pas en faire un objectif à moyen terme ?

Assurer l’instruction en famille pour ses enfants

deux enfants suivent l'instruction à domicile pour prendre une année sabbatique avec leurs parents
Image de Pixabay

Effectivement, les jeunes parents devront rajouter une contrainte à l’équation, et pas des moindres s’ils veulent partir faire le tour du monde sur une durée de plusieurs mois durant leur congé. Celle de faire rater l’école à leur enfants s’ils les emmènent.

Certains auront peut-être la chance de pouvoir confier leurs enfants à leurs grands-parents s’ils habitent à proximité immédiate. Mais il faut être prêt à une période de séparation de plusieurs mois jusqu’au retour et c’est plutôt rare.

D’autres prendront donc le risque de les déscolariser pendant quelques mois. Et d’assurer eux-même la classe pendant le voyage.  C’est l’un des sujets que j’aborde lors de la passionnante interview audio de Carine Poirier. Qui ne regrette pour rien au monde cette expérience d’instruction en famille ! Mais bien sûr, c’est à envisager au cas-par-cas.

Reste qu’un congé sabbatique peut servir à bien d’autres choses qu’à voyager, comme nous allons le voir. Et que la présence d’enfants peut passer d’une contrainte à l’un des fondements-mêmes de prendre une année sabbatique (passer du temps de qualité avec sa famille).

Pourquoi prendre une année sabbatique ?

49% veulent prendre une année sabbatique pour se distancier du stress de la vie active. C’est la première raison (plusieurs réponses possibles) avancée par les sondés d’Opodo pour justifier l’envie d’un congé sabbatique. Les suivantes sont dans l’ordre :

  • 41% se sentir mieux mentalement
  • 35% se sentir mieux physiquement
  • 33% voyager en famille (avec des enfants)
  • 30% voyager avec son partenaire / conjoint

On constate donc que le congé sabbatique est souvent la conséquence d’un mal-être du salarié (stress, fatigue physique ou mentale). Il est d’ailleurs souvent utilisé par des personnes qui craignent de faire un burn-out.

Il s’agit alors d’un mécanisme de défense, consistant à se mettre en sécurité et savoir écouter son corps avant qu’il ne dise stop.

La seconde grande raison mise en avant pour en bénéficier est l’envie de voyager. Généralement à l’étranger, plus loin (Australie, Nouvelle-Zélande, États-Unis, Brésil…) que ne le permettent les congés traditionnels. Pour un dépaysement exceptionnel garanti.

Les autres arguments mis en avant (se former, apprendre une nouvelle langue, création d’entreprise) sont à la date plus marginaux (< 20% des sondés).

Que faire pendant une année sabbatique ?

un petit bateau amarré pour consacrer son année sabbatique pour voyager
Image de photosforyou sur Pixabay

Les raisons sont une chose et peuvent être multiples, mais que faire d’une année sabbatique s’il n’y avait qu’une seule option ? Selon l’étude VoyagesPirates, les Français plébiscitent le voyage.

En effet, 67% des salariés souhaitent prendre une année sabbatique pour voyager.

D’autant plus que la seconde option (18% des sondés) concerne également le voyage, avec un permis ‘”vacances-travail”, permettant de prendre un emploi à l’étranger contribuant à l’équation budgétaire.

Cela semble logique puisque nous avons vu qu’il est l’une des raisons principales par lui-même. Et qu’il peut répondre à la fatigue mentale et au souhait d’apprendre une autre langue.

On peut toutefois se demander si le fait que ces études aient été commanditées par des voyagistes a pu influencer les réponses dans ce sens.

Quoi qu’il en soit, c’est donc de façon beaucoup plus marginale que l’on trouvera les options suivantes :

  • l’apprentissage de nouvelles compétences (7%)
  • l’investissement dans un projet humanitaire (5%)
  • la préparation d’une reconversion professionnelle (2%)

Ce qui est dommage, de mon point de vue, car celles-ci :

  • peuvent répondre également à la fatigue mentale, voire physique
  • ne nécessitent pas forcément un budget aussi conséquent que celui associé à un tour du monde
  • peuvent être plus facilement réalisées de concert, pour peu que tu gères efficacement ton temps
  • sont à l’origine de congés sabbatiques utiles et basés sur le partage

On notera que les projets humanitaires semblent a contrario être l’objectif principal pour les célébrités qui se décident à prendre un congé sabbatique (Leonardo Di Caprio, le Prince Harry, Madonna, France Gall…).

Enfin, notons que 1% des sondés profiteraient de leur congé pour s’occuper de leur proches (enfants, parents…) et que seuls 0,5% ne feraient… absolument rien !

96% sont satisfaits de leur expérience

Vu du fin fond du triptyque “métro-boulot-dodo”, une année sabbatique peut sembler bien douce et enviable… Mais qu’en est-il une fois qu’on y est ? Eh bien c’est pareil ! 😉

C’est un véritable plébiscite pour ceux qui ont tenté l’expérience. Quelles qu’aient été leurs raisons de faire une pause, l’immense majorité des candidats l’ont appréciée. Et ont vu arriver la date du retour à leur poste bien trop tôt à leur goût…

Pourtant, dis-toi bien qu’eux aussi ont eu à faire face à leurs doutes face aux potentiels impacts financier, familial, sur leur poste… Mais au retour, il n’y a simplement pas photo !

Au-delà de la satisfaction instantanée, prendre une année sabbatique renforce souvent la confiance en soi : en ayant osé prendre date et sauter le pas, les candidats ont l’impression d’être davantage maîtres de leur vie.

Au-delà des chiffres, que dois-tu retenir ?

Récapitulons. L’idée d’une année sabbatique te tente furieusement, mais tu l’as toujours sagement rangée dans le tiroir, car tu ne la trouvais pas raisonnable. Et à chaque fois que tu y repenses, c’est un crève-cœur…

Je comprends parfaitement, pour avoir moi-même hésité à franchir le pas. Et, tu l’auras compris, prendre un congé sabbatique tente beaucoup de monde.

Dans cet article, je t’ai montré (en partant de l’expérience des sabbatiqueurs français) :

  • comment faire pour prendre une année sabbatique (en balayant quelques idées reçues au passage)
  • pourquoi prendre un congé sabbatique (si tu veux décompresser, c’est la solution idéale)
  • que faire pendant un congé sabbatique (voyager… mais pas que !)

Une chose est sûre : il te faut un projet. Et prendre un congé sabbatique nécessite également d’avoir des économies dans lesquelles puiser. A fortiori pour faire un tour du monde.

Mais tu peux très bien aussi t’octroyer ce break pour te tester dans un nouvel emploi, en restant chez toi. Voire envisager la piste de la création d’entreprise !

Bien sûr, tu peux décider que le congé sabbatique n’est pas fait pour toi. Mais tu le feras maintenant en connaissance de cause et en arrêtant de te raconter des histoires. 😉

Toujours intéressé ? Bravo ! Pour tirer pleinement profit de ta lecture, j’aimerais que tu prennes quelques instants pour réfléchir aux deux questions suivantes :

  • quel projet, qui te tient à cœur, pourrait te permettre de réaliser une année sabbatique ?
  • quels sont les freins qui te retiennent encore à date et que pourrais-tu mettre en œuvre pour y répondre ? Sous quel délai ?

Indique ensuite tes réponses dans les commentaires. 👇

Et n’hésite pas à partager cet article avec ton réseau s’il t’a plu, il pourrait également inspirer plusieurs de tes contacts ! 🙏

 

  • Carole HERRENSCHMIDT dit :

    Bon alors comme je ne fais rien comme tout le monde, si jamais me venait l’idée de devenir sabbatiqueuse ça serait pas pour voyager mais pour les options les plus marginales….
    Les freins qui me retiennent ? L’acquisition de mon appartement en juin 2019 et les études d’Howard (avec un loyer au Havre qui, sans être excessif, est néanmoins à prendre en compte).
    Quel projet ? Rien ne me vient, certainement parce que, pour le moment, je suis dans un poste qui me convient et que je travaille pour une patronne qui me convient. ça ne durera pas c’est une évidence, j’y reviendrai donc dans 2 ou 3 ans…..Mais avec 3 ans de plus…..attention….

  • Lesot Delphine dit :

    J’ai profité d’un congé parental de 3 ans pour reprendre des études et changer de métier
    Auparavant, j’avais profité de mon congé maternité pour une réflexion personnelle sur mes envies professionnelles
    Prendre un congé sabbatique ? Compliqué aujourd’hui en ayant 3 enfants (collège /lycée /université)
    Mais c’est une belle occasion à saisir pour réaliser de beaux voyages ou réfléchir à un nouvel avenir professionnel et personnel …

  • Alexandre Willocquet dit :

    Avoir raison seule contre tous, c’est tentant, non ? 😉
    Mais oui, effectivement, à la base, je pense qu’il faut une « irrépressible envie » pour être prêt à consentir les sacrifices nécessaires. Tant mieux si tout vous convient actuellement, c’est super et ne changez rien !

  • Alexandre Willocquet dit :

    Merci pour votre retour, Delphine. Même si congés parental et maternité se prêtent traditionnellement moins à un long voyage que le congé sabbatique (alors même qu’ils sont rémunérés), vous montrez que de longs congés peuvent être mis à profit pour apporter des changements durables dans notre vie. C’est aussi mon point de vue, même si je comprends tout à fait ceux qui partent au loin.

  • […] Pas forcément. Vous avez alors, en France, la possibilité de prendre une autre décision : celle de prendre une année sabbatique. […]

  • Blandine dit :

    Bonjour,
    Pour moi, la plus grande motivation pour ce projet serait la cause animale, c’est à dire partir faire des missions bénévoles en France et/ou à l’étranger auprès des associations de protection animale. Me sentir vraiment utile, plus que de signer des pétitions ou acheter des calendriers…. Ainsi que découvrir la réalité du terrain.
    Mes freins sont l’argent car je n’arrive pas trop à imaginer le budget nécessaire (à étudier bien sûr…); mais aussi mes propres animaux, il est hors de questions de les mettre en pension plusieurs mois… Et les confier à mes parents serait une charge assez lourde pour eux…
    Mais j’ ai vraiment envie de tenter cette aventure!!!

  • Alexandre Willocquet dit :

    C’est un beau projet, @Blandine ! Se sentir utile, je crois que ça n’a pas de prix. Par contre effectivement, ça a un coût 😉 A mon avis, c’est vraiment utile de l’étudier pour voir si c’est jouable ou non, on est parfois surpris de trouver quelques marges de manœuvre. Vous pouvez consulter l’article que j’ai consacré aux dépenses d’une année sabbatique. Et le e-book téléchargeable à partir des formulaires de contact est encore plus complet.
    Les animaux peuvent effectivement être une contrainte non négligeable… j’imagine qu’il ne serait pas possible de les emmener avec vous dans votre logement temporaire ? Sans doute compliqué à l’étranger, mais en France ?
    Dites-vous que quand on est motivé, on trouve souvent des solutions ! Je vous souhaite de tout cœur de pouvoir concrétiser ce rêve.

  • >